[Coulisses] OUR(S) fait son nid
Nous sommes heureux de vous présenter le bilan de l’année écoulée. Votre média est toujours en phase de croissance, avec de nombreux signaux encourageants. Ce 3e exercice, commencé depuis six mois déjà, sera important à plusieurs niveaux. On vous explique pourquoi.
Abonnements et notoriété
OUR(S) compte 451 abonnés payants au 1er décembre (31 % du CA), avec une quasi égalité entre les agences et prestataires de communication (51%) et les annonceurs (49% d’entreprises, de collectivités, d’écoles, de syndicats professionnels…).
Nous l’écrivions déjà l’an dernier : être abonné au média (formule payante), être inscrit à la newsletter (inscription gratuite) et être un sympathisant (follower sur les réseaux sociaux), ce n’est pas tout à fait la même chose. Un média est aussi une entreprise, qui emploie des salariés. À ce titre, la « visibilité » est très positive car elle marque un fort intérêt par les sujets traités par la rédaction d’OUR(S), mais elle n’est pas suffisante.
La notoriété de OUR(S) continue à grandir sur les réseaux sociaux avec 18 500 followers (+ 37 %), dont plus de 15 000 sur LinkedIn. Nous constatons qu’environ 20 % de ceux-ci se trouvent en dehors de la région Auvergne-Rhône-Alpes, et en majorité en région parisienne. L’enjeu reste le même que l’an dernier : convaincre une partie d’entre eux de nous rejoindre en devenant abonnés. C’est la seule façon (légale) pour accéder à l’intégralité des articles (voir encadré ci-dessous).
Fréquentation de la newsletter et du site
La newsletter quotidienne « Le Quatre heures » compte 2 035 personnes inscrites (opt’in). Ce chiffre est en progression même modeste. Les taux d’ouverture restent, comme l’an dernier, exceptionnels : entre 37 et 55 %, avec un récent record à 62,2 %. Le taux de réactivité oscille quant à lui de 12 à 36 % selon l’actualité.
Le site ourscom.fr propose plus de 3 800 articles, brèves, fiches d’agences, candidatures des OURS de la com. En termes d’audience, c’est cet événement et l’ensemble des contenus s’y rapportant qui suscite le plus de fréquentation. Globalement, entre le 1er janvier et le 22 décembre 2022, nous avons enregistré 693 000 pages vues et 297 000 visiteurs uniques.
Constellations : référencement en ligne et hors série annuel !
OUR(S) offre un service de référencement en ligne pour l’ensemble des agences, prestataires et experts métiers de la communication en AuRA. Aujourd’hui, nous comptons 317 référencés. Ce service reste en devenir et cumule 40 000 pages vues annuelles.
Le nouveau né Constellations a fait son apparition en janvier 2022. Ce hors-série annuel présente un panorama du marché de la communication dans notre région, un classement des agences et des groupes de communication, ainsi que les principaux experts métiers qui s’y référencent. Constellations a rapidement trouvé sa place. Tiré à 2 000 exemplaires, il est adressé à nos abonnés, à plusieurs centaines de directrices et directeurs de la communication et est diffusé sur des salons professionnels (C!Print, All for Contents, événements MEDEF, SBE, ODLC…). Le second opus Constellations 2023 paraîtra le 23 janvier prochain. Il voit sa pagination augmenter de 30 % au total et de 50% sur la partie éditoriale.
Chiffre d’affaires et recrutements
Nous avons jusqu’à présent respecté le plan de croissance que nous nous étions fixés. Comme pour beaucoup d’entre vous, la crise sanitaire a pu nous faire craindre le pire. Le contexte géopolitique ajoute à l’incertitude. C’est la raison pour laquelle nous nous montrons prudents et réalistes dans nos prévisions. S’il y a des surprises, elles ne doivent qu’être bonnes ! Après un premier exercice sur 16 mois, nous avons effectué une année 2 en progression de 35 % sur notre CA, qui s’est établi à 281 736 euros. Les recettes publicitaires comptent pour 55 % de notre CA et les événements, au premier rang duquel Les OURS de la com, participent à hauteur de 14 %.
Le résultat net est légèrement négatif (- 10 000 euros), après un bénéfice net de + 19 903 euros en année 1. Nous sommes en effet en phase d’investissement humain. L’équipe s’est étoffée et renouvelée. La rédaction compte trois journalistes à temps plein et trois journalistes rémunérés à la pige. Pierre Lelièvre a été nommé rédacteur en chef adjoint en avril. Le service commercial s’est renforcé avec l’arrivée de Catherine Quiblier au poste de chargée du développement et des partenariats en janvier. Maxime Le Bideau est chargé des relations abonnés en alternance et Lauryn Azcarraga est cheffe de projet événementiel en alternance également.
Et pour 2023 ?
Tout d’abord nous avons lancé une émission web mensuelle, Pile Poil, avec le partenariat de l’agence Tintamarre. C’est un nouveau format que nous investissons et qui ne demande qu’à prendre de l’ampleur. Les OURS de la com s’installent un petit peu plus comme le grand rendez-vous des professionnels de la communication. La 3e édition aura lieu le 21 mars. Le club abonnés va prendre son envol. Il permettra de bénéficier d’avantages sur les offres d’OUR(S) et de participer aux événements professionnels.
Enfin, nous avons pour projet de remettre sur l’écheveau notre site afin d’améliorer la navigation et mieux présenter la richesse de nos contenus. Agilité, réactivité et adaptation, disions-nous l’an dernier pour résumer l’année. Ils restent plus que jamais nos maîtres mots pour la prochaine année. Nous pourrions y ajouter plaisir et enthousiasme.
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Une perte de 38 000 euros
Nous faisons le constat que les identifiants de connexion de nos abonnés, individuels et personnels, sont largement partagés. C’est la démonstration que votre média répond à votre attente et participe à votre veille professionnelle. Mais ces partages « gratuits » ont un coût réel : ils représentent une perte évaluée à 38 000 euros. C’est l’équivalent pour OUR(S) d’au moins un poste de journaliste.
Que voulons-nous dire par là ? Qu’un service de communication d’une entreprise ou d’une collectivité, qu’une agence de communication devrait souscrire autant d’abonnements qu’il y a d’utilisateurs réellement. Nos offres entreprises sont (très) avantageuses dès le 2e abonnement. Nous avons entamé une réflexion à ce sujet pour adapter notre offre d’abonnement à la taille de l’entreprise. Aujourd’hui un freelance paie, par exemple, autant qu’une société de plus de 20 personnes.
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